Coaching Lyon : Comment faire face à la déception

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Table des matières

Voici selon les pro en coaching, accompagnement, neuro-atypique a Lyon, donc quelques idées à prendre en compte lorsque vous êtes confronté à une personne dans votre vie qui se montre constamment sous un jour peu reluisant :

Il ne s’agit pas de vous.

Cette personne se comporte comme elle le fait à cause de ses propres « affaires ». Ne les assumez pas. Ne les assumez pas et n’en faites pas un reflet de votre valeur personnelle.

Chaque fois que le patron de Janet se comporte de manière agressive envers elle, le dialogue qui se déroule dans son cerveau est qu’elle n’est tout simplement pas assez bonne. Janet changerait la donne si elle comprenait que l’agressivité de son patron n’est pas du tout le reflet de sa valeur, mais plutôt celui de son style de communication. Janet serait beaucoup plus heureuse si elle cessait d’espérer que son patron soit plus doux et plus gentil et si elle apprenait à ne pas prendre son ton personnellement.

Vous êtes responsable de votre propre bonheur.

Tant que votre bonheur dépend des actions des autres, il est entre les mains de quelqu’un d’autre. Commencez à assumer cette responsabilité et libérez les autres de l’obligation de vous rendre heureux.

Le père de Jill, il est vrai, se comporte d’une manière qui semble injuste. C’est ainsi depuis longtemps et pourtant, chaque fois que cela se produit, elle s’énerve. Elle cède beaucoup de pouvoir à son père chaque fois qu’elle se fâche. Et si Jill cessait d’attendre de son père qu’il soit juste ? Et si elle n’avait pas besoin qu’il soit juste pour ressentir un sentiment de plénitude et de paix ? Combien de pouvoir récupérerait-elle ?

Votre bonheur est fonction de vos pensées (et non du comportement de quelqu’un d’autre).

Les pensées que vous pensez sans cesse forment vos croyances, qui déclenchent en fin de compte les émotions que vous ressentez sur n’importe quel sujet. Utilisez le processus de journalisation pour découvrir les pensées et les croyances que vous avez sur cette relation particulière. Remettez en question les croyances qui vous font vous sentir en colère, triste, frustré ou déçu par cette relation.

Par exemple, Jason pourrait tenir un journal et découvrir que l’une de ses croyances fondamentales est que s’il était plus séduisant, sa femme aurait une plus grande libido. Cette croyance peut l’amener à se sentir très mal dans sa peau. En réalité, la libido de sa femme n’a probablement rien à voir avec lui. Cette prise de conscience contribuerait grandement à réduire le ressentiment et la frustration qu’il ressent et lui permettrait d’aider sa femme à faire face à la lutte qu’elle mène manifestement.

Arrêtez d’essayer d’obtenir de l’eau d’un mur.

Arrêtez de chercher à ce que cette personne dans votre vie réponde à un besoin émotionnel personnel. Premièrement, si elle n’a rien à donner, cessez de l’attendre et d’être déçu quand elle ne vient pas à vous. Deuxièmement, c’est à vous de combler vos besoins émotionnels. Trouvez d’autres moyens de vous sentir bien dans cette relation particulière de votre vie.

Par exemple, le patron de Janet est celui qui lui a donné le poste de direction dans l’entreprise – c’est certainement une forme de soutien. L’interprétation qu’elle fait de son comportement « agressif » comme un rabaissement ne correspond peut-être pas du tout à ses intentions ou à ce qu’il pense d’elle.

Ce sur quoi vous vous concentrez grandit.

Lorsque vous vous concentrez sur ce qui ne fonctionne pas dans une relation, celle-ci se dégrade davantage. En revanche, lorsque vous vous concentrez sur ce qui est bon et correct dans une relation et que vous reconnaissez ces éléments, la relation s’améliore.

Dans chacun de ces cas, les relations décrites sont importantes pour les personnes concernées. Si aucun d’entre eux n’a l’intention de mettre fin à leur relation respective, ils gagneraient tous à prendre le temps de se concentrer sur ce qui est sain et productif dans la relation. Par contre, si le dysfonctionnement de la relation est à ce point insupportable, je les encourage à se demander pourquoi ils restent dans cette relation. Quelles sont les croyances qui les maintiennent dans cette relation ?

En fin de compte, nous sommes souvent obligés de tenir les autres responsables de notre humeur et de notre état émotionnel. Il est plus facile d’utiliser quelqu’un d’autre comme la raison de notre malheur que d’assumer la pleine responsabilité de nos pensées.

Apprendre à libérer les autres de leur besoin de se comporter de manière à nous faire plaisir confère un grand pouvoir. En devenant indépendant de ce besoin, nous pouvons vivre dans une paix, une facilité, une exaltation et une joie bien plus grandes.